• Je sais, je sais...

    J'ai récemment écrit un article sur les avantages de la précarité (si tu ne l'as pas lu, rattrape-toi immédiatement, car dans mon royaume, ne pas lire mes articles est passible de peine de mort), et je reviens maintenant t'expliquer pourquoi ce CDI, il est pour moi. Non, je n'ai pas été touchée par la foudre, juste qu'il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis, et j'ai un QI plus que correct, n'en déplaise à l'enfoiré qui m'a traité de conne ce matin quand j'ai grillé la queue à la boulangerie.

    Bon, si tu me suis correctement, tu sais déjà qu'une opportunité de CDI se libère dans ma boîte, et franchement, j'ai des tas de compétences, je ne vois donc objectivement pas pourquoi, je n'aurais pas le job...

     

    Pourquoi ce CDI, il est pour moi...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ma grand mère disait toujours : "mieux vaut boire du rouge que broyer du noir". Je l'aimais beaucoup mémé, paix ait son âme, la cirrhose l'a emportée... Moi je dis, faut toujours suivre les conseils des anciens, et malgré ma nature peut encline à l'optimisme, je peux me targuer de n'avoir jamais croqué dans un cacheton de Valium.

    Par contre, la méthode "Picole pour être heureux" demande de la technique. Beaucoup. Parce que de nos jours, si la dépression est banalisée et que voir un psy est presque une nécessité si tu veux être respecté, l'alcoolisme, lui n'est que très peu acceptée par la société. Heureusement, mean girl est là (le nombre de fois où je t'ai sauvé la vie quand-même...), et comme je suis devenue pro dans l'art d'aller bosser avec la gueule de bois, je te livre ici toutes mes astuces pour ne pas te faire griller...

    Enfin ne pas te faire griller, c'est un grand mot... Parce qu'en général, je suis quand-même repear dès que je pose un bout d'escarpin dans la boîte, en particulier par Patrick, qui a une sorte de radar pour ça (mais à mon avis, c'est qu'il est alcolo aussi, on se comprend). Tu ne pourras pas toujours nier l'évidence, c'est pourquoi, cette méthode se découpe en trois points, à utiliser selon le taux d’alcoolémie encore présent dans ton sang...

     

    Gérer la gueule de bois au boulot

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Si il y a bien un truc que je déteste, dans la vie, c'est les gens (et je pourrais mettre un point juste ici pour conclure cette phrase, mais je vais continuer quand même) toujours de bonne humeur.

    Ah putain ! Les gens pompelup dès le matin à 8h, et jusqu'au soir, que même pas ils ont l'air fatigués de leurs journées, alors que toi...

    A 8h, tu tires la tronche, t'as mal à la gueule à cause de la vodka de la veille, t'as la trace d'oreiller que tout le maquillage du monde n'arrivera jamais a camoufler, t'as loupé ton tram à 30 secondes près et t'as failli t'étaler en glissant sur ces fucking feuilles mortes de ce fucking automne avec tes talons de 12, t’arrive au taff avec 25 minutes de retard, affamée, et un enculé a bouffé le reste de ton paquet de Pépito laissé sur ton bureau alors que t'avais pris soin de coller un post-it dessus : "bouffe-moi et je te pète les deux genoux, bâtard".

    Vers 11h12, t'as repris un peu de poil de la bête, après tes 9 cafés, t'es presque d'humeur correcte, et c'est reparti, la photocopieuse se bloque pendant que tu étais en train d'imprimer les 358 pages du dossier super urgent ("Les 100 plus bogosses de la terre en 358 photos" que t'as potasse Lucy t'as envoyé par mail). Et c'est reparti, on t'entend gueuler comme un putois jusqu'au 3ème étage. Ça va être ça toute la journée, ça ira mieux, et bam, tu vas filer ton collant, etc etc..

    Bref, tous ces petits désagréments qui ne semblent pas affecter Véronique, ton ennemie ta collègue qui elle, a le sourire toute la journée, alors que franchement, toi, rien que si t'avais sa gueule, t'aurais envie de te suicider.

    Mais la meuf est toujours de bonne humeur, alors que la vie est une salope, la preuve...

     

    La vie est une salope, la preuve...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Quand j'étais gosse, si on nous demandait ce qu'on voulait faire dans la vie, quand on serait grand, on répondait : astronaute, inspecteur gadget, miss France, explorateur, ou dealeur. Que des trucs qui font rêver quoi... Aujourd'hui, demande à un gamin ce que c'est son rêve, il te sort : "ben moi, je voudrais un CDI".

    Ah ! Ignominie, erreur ! Pauvre génération perdue, qui n'a rien compris !

    As a leader, laissez-moi vous expliquer les jeunes, pourquoi, la vraie réussite, c'est les emplois précaires ! Ben ouais, c'est tout le contraire les gars, ils sont où les avantages tu crois ?

    Tu vas me dire, ouais, sécurité de l'emploi, prêt à la banque tout ça, pavillon/labrador/4x4, ahah ! Mon cul ! Et le pire c'est que tout le monde court après ces putains de CDI !

    Regarde, dans ma boîte, on sait qu'un poste va se libérer en Juin. Un CDI, le Saint-Grâal... Du coup, tous les emplois précaires se tirent la bourre pour décrocher le job. Ils sont tous en train de rédiger leurs lettres de motivation pendant que moi, j'écris ce torchon, ce chef-d’œuvre. Même les employés en CDI me poussent, "mais postule !!!" (ouais, ils me kiffent, normal, ils veulent me garder). Ahahah, mais vous êtes tarés ou quoi ? Non, moi je préfère jongler avec les contrats, et être toute ma vie une galèrienne, parce que...

     

    Les avantages de la précarité

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Han ! L'autre ! Elle a pas posté depuis le premier Août, et encore, c'était pas elle, c'était le doc Filou, et elle se ramène la bouche en cœur, la gueule enfarinée, et elle croit qu'on va la lire sans rien dire !

    Ok la gargouille, déjà, tu te calmes, j'ai naturellement une bouche en cœur, pas la peine d'être jalouse, et j'ai pas la gueule enfarinée, j'ai juste mis trop de poudre minérale.

    Et puis t'es pas mon père oh ! Parce que je sais très bien à quoi ça ressemble un père, figure-toi, j'en m'en tape un. Un père divorcé. Ou presque. Oh ça va hein ! Je l'ai connu après qu'il ait presque divorcé avec l'autre pute sa femme, (ou presque), mais oh ! Putain ! T'as décidé de me faire chier ou quoi ? Parce que je te jure, c'est pas le moment. Déjà, je viens de faire un trou de clope dans mon plus beau chemisier Paul and Joe (ok, H&M), et ensuite, je viens de réaliser qu'on m'a trompé sur la marchandise...

    Imagine-toi... 6 mois en arrière, je date un jeune homme fougueux répondant au doux nom de docfilouaimeleschaudasses36 (par souci de discrétion, le numéro de département a été changé, on est pas des blaireaux, on habite pas Châteauroux). Il est canon, chaud comme la braise, il a eu le mauvais goût de faire deux gosses, mais bon, il n'a pas la garde, il n'en parle jamais, c'est comme si il se s'était pas reproduit. Moi, confiante, je m'abandonne à mon bel Adonis, pire, je commet la grosse connerie de tomber amoureuse et là, BAMMMMM, je réalise, Ah ouais ! Il est père le con ! J'avais oublié les deux morveux, Léa et Kévin ! Il m'en avait vaguement parlé, genre connerie de jeunesse, il était bourré, il a fait des gosses, il a été coincé avec le test de paternité, tout ça, il a dû les reconnaître, mais comme j'écoute jamais ce qu'il me dit, j'avais zappé. Et là, je peux te dire, je déchante... Et je réalise ce que ça représente vraiment de se taper un père divorcé !

    Comme je suis bien connue pour être sympa, je vais essayer de faire en sorte que mon expérience douloureuse serve à quelque chose, et en particulier, te serves à toi, pauvre lectrice, qui, si t'arrives à un jour à pécho avec ta gueule, risque bien de tomber sur un papounet à la con (ce risque augmente proportionnellement avec ton âge). Pour bien te mettre en garde, je te livre ici tous les inconvénients que la situation comporte...

     

    Se taper un père divorcé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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